Cassandre W. Stendhal
97 seconds • you are one of god‘s mistakes
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• Date d'inscription : 19/09/2009
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• Gift & Skills : Habilité à courir plus vite que son ombre. haha. joke.
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• emploi: chasseuse à temps plein.
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 Sujet: CASSANDRE. • now i'm blaming you for everything {ENDED.  Sam 19 Sep - 23:56 |
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| Il fallait comprendre qu'on ne doit pas manger tout à la fois, donner tout ce qu'on a dans ses poches au mendiant qu'on rencontre, courir, courir dans le vent jusqu'à ce qu'on tombe par terre et boire quand on a chaud et se baigner quand il est trop tôt ou trop tard, mais pas juste quand on en a envie ! Comprendre. Toujours comprendre. Moi, je ne veux pas comprendre. Je comprendrai quand je serai vieille. |
« Cassandre Winifred Stendhal » ღ Âge : « J’ai vingt-trois ans. Personnellement, je m’en donnerais Trente-sept : j’ai la mentalité d’une fille qui frôle la quarantaine. J’en ai des frissons, quand j’y pense. »
ღ Surnoms : « Ca se résume à : Cass'. Pas la peine d'aller chercher plus loin. »
ღ Date & Lieu de naissance : « Je suis née un Trois Décembre à Los Angeles, la cité des Anges. Mais bien sûr ; je ne sais pas pour vous mais je n’ai pas souvent vu des Anges se trimballer dans les rues, à la recherche d’une pauvre âme en peine, pour ‘l’aider’. Je sais : il faut que j’arrête d’être aussi médisante. »
ღ Lieu de vie actuel : « A Décorah, dans un petit motel miteux. Ca te renseigne ? »
ღ Travail : « Chasseuse psychotique et douuuééée de ses mains MOUHAHAHA. »
ღ État civil : « Célibataire. Amen. »
ღ Groupe : « Chasseuse. Bon, peut-être que je n’ai pas le physique de l’emploi ( bâtie comme Hulk et une voiture adéquate, genre 4x4 ) mais j’aime beaucoup cette situation. Le risque. La mort. La peur. La solitude. Et mon ironie que je devrais ranger au fond d’un tiroir. »
« - Mais tu ne comprends pas ! Je suis un homme.
- Et alors ? Personne n’est parfait. » ღ « Calme, je suis calme, je sens que je n’ai plus désormais le moindre sentiment.... » :
« Si vous étiez dans ma tête alors vous apprendriez à vivre » Cassandre n’est pas forte. Elle se le fait croire mais elle est loin d’être puissante. Qu’on se le dise, C. est une humaine – chasseuse, okay, C. est une chasseuse. Mais elle est aussi immortelle qu’un papillon ; une chose qu'elle a manifestement oublié –. Cassandre se prend pour Superman - une version de super-héros très efféminée - et elle pense qu'elle peut vaincre la plus terrible des créatures en une pichenette. Ce qui est, ma foi, plutôt dérangeant lorsqu'elle se prend la dérouillée du siècle et qu'il lui reste assez de force pour tourner les talons de sorte à s'enfuir en courant. Ceci dit, ce genre de situation ne peut pas mettre en péril l'orgueil de la jeune femme qui continuera à croire qu'elle peut aisément farcir la tête de la créature avec du plomb tout aussi rapidement que Lucky Luke. Premier péché capital qui t'envoie en Enfer pour un bon bout de temps. Mais aucun risque que ça puisse perturber le bon fonctionnement de C. vu qu'elle n'a jamais cru un mot venant de la Bible. Quand on affronte des créatures démoniaques à longueur de journées, à ses risques et périls, alors on a vu le pire de ce monde. On a vu la mort. On a vu la souffrance. Une chose à savoir : Cassandre attend encore son moment de quiétude. Elle attend encore que tout se termine mais ça ne se terminera jamais. C. en est consciente et, malheureusement, elle ne peut pas s'empêcher de s'accrocher à ce mince espoir qui la tient en vie. Le changement. - dans le bon sens, hein ! si c'est pour voir le monde se changer en un bon gros brasier incandescent autant mettre fin à ses jours immédiatement pour ne pas voir la planète sombrer dans la décadence totale - « Si vous aimez les ennuis, alors suivez-moi »
Une sacrée tendance à frapper avant de parler. Cherchant toujours la petite bête – et la dénichant relativement souvent –Cassandre est une jeune femme qui est, pour le moins, assez sympathique avec les gens qu’elle connaît. Même si elle est impatiente et relativement sarcastique de part ses paroles cassantes, C. peut se montrer charmante. Certes, ça ne lui arrive que dans ses bons jours. Habituellement, c’est plutôt « Hééé, toi ! Oui, toi, l’ahuri… T’as pas l’heure ? Non ? Beh pas merci, tu le mérites pas. » Charmant comme comportement, hein ? Oooh je sais que vous savez que je sais que vous savez que vous l’adorez déjà. J’me trompe ?... Comme ça, oui ? Naméo ! Comme dirait C. « Tu veux une baffe ? » Entre autre, Cassandre peut se montrer d'une impatience folle. Un exemple : si elle sonne à votre porte et que vous ne venez pas lui ouvrir dans les deux secondes qui suivent, elle peut détruire votre porte à grands coups de pieds - ou alors frapper la porte violemment jusqu'à ce que vous veniez l'ouvrir -. Elle appuie souvent là où ça fait mal, sans réellement s'en rendre compte... la pauvre chérie. Cependant, malgré ce que l'on pourrait penser, C. est loin d'avoir deux mains gauches. Même si ses paroles vont plus vite que ses pensées, Cassandre n'est pas du genre à laisser échapper un objet qu'elle a entre les mains. Et puis... une chasseuse maladroite... N'importe quoi. Enfin il y a toujours quelques hybrides dans chaque catégorie de personnes. Mais C. n'est pas une hybride - heureusement pour elle d'ailleurs -. Ayant la langue bien pendue et s'amusant à jouer avec les mots - juste pour le plaisir de voir le visage de son interlocuteur rougir de fureur -, C. a aussi un humour assez large, va-t-on dire. Autant s'amuser avec ce qu'on a sous la main. Ouverte d'esprit, C. pense que les barrières sociales, religieuses, ( etc... ) ne sont bonnes qu'à jeter. Certes, peut-être qu'Cassandre n'est pas franchement compréhensive ou délicate... Mais après tout, vous savez ce qu'elle exerce comme métier ? Nan ? En tout cas, ce boulot n'est pas rémunéré par l'gouvernement.
ღ « - Vous me prenez pour le diable ? - Vous en avez la beauté. » :
Première chose : évitez de me comparer à la chienne à Jacques. – mon petit doigt me dit que je n’apprécierais sans doute pas votre référence - Comment me reconnaître à travers une foule de gens ? Très simple. Au lieu de vous armer d'une paire de jumelles pour scruter les coins poussiéreux de chaque rue, choisissez la manière la plus simple. L'information, messieurs, la culture. En gros, comment reconnaître ma personne, me myself & I. C'est assez simple, à vrai dire. Tout d'abord, je suis une jeune femme de taille moyenne possédant de sérieux atouts corporels : pour passer les détails, on va dire que je suis loin d'être une planche à pain ambulante. Bien au contraire. Soit. Mes yeux bleus brillent constamment d'une étrange lueur malicieuse qui semblent exprimer la chose suivante ' Je vais t'avoir, sale petit rat '. Quelle... euh, quelle malice. J’offre un délicieux contraste avec mes yeux en vous disant que mes cheveux sont noirs. Miam. Enfin, bon. j’ entretiens mon physique avec une grande finesse... Presque trop grande et trop importante si vous voulez mon avis. Certes, il existe une différence entre la ' Cassandre-qui-chasse ' et la ' Cassandre-qui-vadrouille '. La première est habillée le plus simplement du monde : jean, t-shirt - sale de préférence, pour ne pas en abîmer un neuf -, une bonne paire de baskets dont les lacets s'effilochent. Lorsque je. chasse, il ne m’est pas nécessaire de soigner mon apparence. En fait, étant donné que je sait qu'il va y avoir de la casse, je me doute que je ne serais pas des plus utile en robe courte et en talons hauts. Sauf si la créature à combattre est un ancien styliste et, ça va de soi, je n'en croise pas tous les jours. La ' Cassandre-qui-vadrouille ' ( précision : je vadrouille dans les bars principalement... faut bien gagner sa vie ! ), bref, cette Cassandre-là est en totale opposition avec celle qui chasse. Tout d'abord, je mets un point d'honneur à m'habiller comme... comme ce qui suit : décolletés plongeants - alleluja -, pantalons moulants, talons hauts... Ou, au pire, jupes ou robes courtes. Pourquoi donc s'habiller comme ça ? Et bien, il faut se mettre en situation pour savoir. Lorsque vous jouez au billard, par le plus pur des hasards, et que c'est à votre adversaire de jouer - il faut que ce soit un mec, obligatoirement hein -, il faut se pencher pour que votre adversaire ait une vue plongeante sur votre poitrine. Certes, c'est une manière de faire un peu Pupute, mais hého ! Ca m’ a rapporté pas mal jusqu'à présent. Par contre, pour le poker, ça ne marche pas étant donné que les adversaires ont les yeux figés sur leurs cartes et ils s'en foutent un peu de la taille de votre poitrine.
ღ « Quand on ne peut pas changer les choses, il faut faire avec. » :
« Tradition familiale. Méchanceté gratuite. Alcoolisme. Mort. Ça résume bien ma misérable existence. Tout d’abord : je suis née ( première erreur ). Mon père, qui s’attendait à avoir un petit garçon, me découvrit… moi. Amen, j’aurais mieux fait d’être adoptée. Ou abandonnée dans une poubelle. Je me plains, je me plains mais je pense que je le mérite. Ma mère est morte en me donnant naissance – mon père a toujours cru que c’était à cause d’un démon-je-ne-sais-quoi – mais je ne pense pas. Non. Ma mère avait des problèmes médicaux, mon arrivée ne fut que la goûte d’eau qui a fait chavirer le bateau. C’est tout. Bref. Mon père, horrifié d’avoir une fille faiblarde comme moi et non pas un garçon bâti comme un Tank, me confia à mon oncle. Un oncle sain d’esprit, qui plus est. Je vécus alors les premières années de ma vie avec mon Oncle ; gentil comme tout, et qui aurait pu faire un père merveilleux. Mais quand ma sixième année d’existence arriva, tout chavira. Mon père revint. Apparemment, il s’était soûlé plus que de raison et il voulait me récupérer à tout prix. Mon oncle ne chercha pas à se battre, à me garder auprès de lui… Je ne comptais pas pour lui. Dixit mon père. Alors mon enfance fut mouvementée : être secouée dans une voiture n’est pas franchement quelque chose d’agréable. Mon père se chargeait de ses créatures et je restais enfermée dans la voiture. Mortel ennui. Mort imminente. Je dormais. J’attendais. J’écoutais. Je mangeais. Je m’enfermais. Je hurlais. Adolescence typique. Et j’aidais mon père, quelque fois. Il voulait me former. J’aurais amplement préféré être une fille normale avec des amis normaux. Mais ça ne pouvait pas se passer comme ça. Bien au contraire. J’étais seule. Seule avec mon père. Quelle joie. Quelle consolation. Mais je ne pensais pas à me hisser contre mon géniteur parce que, après tout, je l’aimais. Je l’aimais tant. J’eus une vie, difficile, certes. J’ai vu la mort plusieurs fois et pourtant je suis toujours là. Et mon père mourut. Devant moi. Je l’ai traîné sur plusieurs mètres avant de m’effondrer, harassée de fatigue. Et de tristesse. Et j’ai voulu me montrer forte. Mais je ne peux pas m’élever. Je ne peux plus.
Soit, je commence à aimer le dramatique. Sinon, j'ai du continuer la chasse. Pourquoi ? Parce que je n'avais aucun but dans la vie. Je ne me voyais pas chirurgienne, docteur ou avocate... Ou quoi que ce soit d'autre. J'avais l'impression d'être formatée pour tuer. Une sorte de robot avec des cheveux, si vous préférez. Donc j'achevais, tant bien que mal, les affaires entamées de mon paternel. Inutile de vous préciser que ma vie a l'air d'être aussi éphémère que celle d'un papillon. J'ai failli mourir une bonne centaine de fois - n'exagérons pas les choses, non plus - et j'ai fini par croire que j'avais, peut-être, une bonne étoile. Mais cette croyance fut de courte durée : si mon étoile avait réellement existé, je n'en serais pas là aujourd'hui. J'aurais un petit ami et, pourquoi pas, un bébé chien. Alléluia, mon étoile a pris l'eau. - aussi rapidement que le Titanic -.
Pourquoi suis-je arrivée à Decorah ? Bonne question. Bouche à oreille, je suppose. Et, ayant un faible pour le suicide collectif, j'ai foncé. - pour tout vous dire, je n'avais aucune affaire en cours et je m'ennuyais ferme - Decorah, Decorah, Decorah... Quand on me dit ça, je pense directement à Sorcières et Sorciers et le tralala magique habituel. Ou alors, je pense à un magasin de décorations d'intérieur, je ne sais pas trop. Bah, personnellement, les sorcières ne peuvent pas m'effrayer - sauf si elles me menacent avec leur balais -. Ceci étant, je dois vous dire que je ne sais pas exactement quelles choses nous devrons affronter. Quand je dis ' Nous ', c'est moi & ma voiture. Mesdames & Messieurs, je vous souhaite le bonsoir. » « - Vous disiez la vérité !
- Ça m’arrive très souvent. Je comprends pas pourquoi ça vous étonne. » ღ - Les trésors ne sont pas tous d’or et d’argent... » :
« Ce que j’aime ? Pas grand chose. Ce que je déteste ? Le reste. Bon, trêve de blablaterie, et passons aux choses sérieuses. Aussi étrange que cela puisse paraître, j’ apprécie énormément les choses simples... Comme par exemple, euh... Je ne sais pas moi, pour vous, qu'est ce qu'une chose simple ? Et bien, c'est un truc tout couillon. Que vous, le commun des mortels, faites tous les jours. Discuter avec une personne appréciée, défendre un ami, se montrer digne et forte... Toutes les petites choses qui vous font ouvrir les yeux sur votre véritable personne. De plus, en apparence, je ne suis pas spécialement du genre à aimer beaucoup de choses... Sauf peut-être les parties de billards que je gagne toujours astucieusement. - merci au Dieu créateur du décolleté plongeant - Soit, entretenant une étrange fascination pour le gloss - merci au Dieu créateur... le même qui a inventé le décolleté -, cependant je ne m'en badigeonne pas constamment. A l'inverse, je n'apprécie pas spécialement tout ce qui touche aux Muppets... Je ne sais pas pour vous mais Kermit la grenouille me file une peur de tous les Diables. Vous l'aurez compris, les petites créatures faites de tissus n'ont pas une grande place dans mon cœur. » « - Il n’y a pas plus aveugle que celui qui se nourrit de ses illusions. » ღ Pseudo/Prénom : Panzanii / Ophélia.
ღ Âge : Seize aaans et toutes mes dents *cheese*
ღ Sexe : Avec Castiel ? Volontiers ! 8D
ღ Présence sur le forum : Mouhahaha. Je suis là touuut le temps, t'peux pas m'échapper *out*
ღ Où l'avait vous connu ? Deanou d'amor et son merveilleux post de partenariat.
ღ Votre avis dessus : So bioutifoul âând wonderfioul. |
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On est trop foooortes (love uuuus \o/)
